Jimmy Wright
♦ MESSAGES : 5
♦ PIC : 
Feuille de personnage
I am: an employee
libre pour un topic? : Nan, pas le temps
carnet d'adresses:
 |  Sujet: Jimmy Wright "Born to be a Star" Mar 19 Oct - 15:21 | |
|
(c) CH.
feat. Jim Sturgess.
|
|
« JAMES "JIMMY" WRIGHT » |
▬ date & lieu de naissance : Perth, Australie, un 7 juillet 1985.
▬ âge : 25.
▬ métier : booker
▬ statut : Célibataire
▬ groupe : personnel
|
quelques petites choses à savoir. ici vous parlez de tous ces petits détails ui le rendent unique. Sa couleur préférée, son livre de chevet fétish, ses mimiques, bref tout ce qui vous passe par la tête!
|
|
« PHYSIQUE & CARACTÈRE »
PHYSIQUE : Parce que maintenant, vous voulez que je parle de mon physique ? Ben écoutez, je pourrais facilement vous montrer une photo de moi, vous aurez directement une idée bien précise du personnage. Mais bon, j'ai compris, il faut se décrire avec des mots. Vous aimez chercher la petite bête, avouez !
Bon, par où commencer. On va faire dans le classique, ça vous va ? Donc, je suis un homme un peu plus petit de la moyenne, je fais tout juste un peu moins que le mètre 80. Quand on a en face de soit des lutteurs avoisinants les 2 mètres, on se sent petit, je me permets de vous le dire. Niveau poids, pareil, je frise le gabarit gringalet, le genre qui a que la peau sur les os. Bon, j'ai un peu de muscle mais regardez le pater et vous comprendrez que je suis gringalet si on en juge par la norme masculine familiale. Mais bon, je vis assez bien avec ça donc, il y a fort peu de soucis.
Vous en voulez encore ? Bon, ok, j vous lance la suite. Alors, partons par le visage. J'ai un visage assez lambda, ce qui concrètement ne veut rien dire vu que si tel était le cas, on aurait tous la même tête. Alors, j'ai une coiffure assez improbable et de couleur noire. Assez improbable parce que les plus humoristique d'entre vous dirait que je suis fâché avec le peigne. Ce n'est pas entièrement faux d'ailleurs. Bref, ils sont plutôt court et en bataille. Mes yeux, tant qu'à eux sont de couleur bruns. Un assez curieux mélange de couleur entre ceux de mon père et ceux de ma mère. D'ailleurs en parlant d'eux, c'est triste à dire, mais j'ai plus pris de ma mère que de mon père. La vie est parfois tellement capricieuse. J'ai un nez ni trop éclaté, ni trop long. Il est même un peu petit. Je pourrais presque dire que c'est une chance de ne pas avoir besoin de lunettes, elles ne tiendraient pas sur mon nez. Il m'arrive de laisser une barbe pousser de temps en temps pour me donner un air plus viril. Et oui, j'ai ce syndrome de quelques personnes d'avoir un visage qui fait toujours très jeune.
Du côté des vêtements, je ne peux pas dire que j'ai un style bien définit. Quand on doit avoir une réunion avec le grand patron au sujet des feuds à venir, j'ai tendance à sortir mon costume 3 pièces avec cravate et tout le tralala, costume que je met aussi pour les soirée qui le demande. Cependant, la majeure partie de temps, quelques soit la circonstance, j'apprécie très fortement de m'habiller de façon décontractée. T-shirt et jeans font terriblement bien l'affaire avec une paire de basket qui a fait la guerre comme on dit. J'ai aussi une vieille veste en cuir, qui me sert de veste toute l'année. C'était la veste de mon père qu'il m'a donné parce que il ne savait plus la mettre. Aussi, je ne m'en séparerais pour rien au monde vu la valeur qu'elle a à mes yeux. Voilà, je pense avoir fait un rapide tour de qui je suis au point de vue physique, j'espère qui vous avec bien aimé et que ça vous suffira pour vous faire une idée.
CARACTÈRE : Voilà que je vais devoir parler de ma façon d'être. Pas facile ça, c'est assez dur d'avoir une vision objective de soi-même. Enfin, si c'est le jeu, je veux bien m'y prêter. Dans un premier temps, je dirais que je suis du genre calme, vous savez ceux qui ne s'emportent pas facilement et qui reste de marbre face à n'importe quel situation, ben c'est moi. Ou presque, il m'arrive de perdre mon sang froid face à ceux qui ont une tendance à se croire au dessus de tout le monde et qui manque de respect. Oui, je suis un homme qui respecte certaines valeurs et le respect des autres justement en fait partie. C'est mon père qui m'a appris ça, lui qui respecte toujours l'adversaire qui est en face, quelque soit son âge, son expérience, sa nationalité. J'essaye le plus possible de suivre ses traces mais il faut avouer que parfois, les fortes têtes ne nous laisse pas vraiment le choix.
Une autre qualité, si je devais continué à en citer quelques unes, c'est ma faculté à écrire des histoires. Enfin, dans le cas présent, c'est plus une faculté à trouver l'histoire qui convient entre deux lutteurs. Une fois de plus, c'est mon père qui m'a fait découvrir ce talent, en tout cas qui m'a montré que j'étais capable de le faire, je pensais juste être un gamin qui invente des histoires sans queue ni tête. Au cours de ma carrière, de nombreuses superstars on été ravi de travaillé avec moi que ce soit pour une feud ou pour le déroulement d'un match. Car oui, je ne suis pas assez athlétique que pour affronter des lutteurs sur un ring, mais je sais trouver les retournements de situation qu'il faut. Il m'est même déjà arrivé d'être sollicité par un lutteur pour lui trouver les bonnes prises à faire. Oui, ok, on peut dire que je me jette des fleurs sur le coup, mais j'ai tellement du mal à être objectif que pour une fois, j'ai envie de mettre en avant mon meilleur atout.
Parce que oui, si on peut trouver, en cherchant bien, et profondément, une ou deux qualités, je crois pouvoir dire que j'ai une énorme liste de défaut bien trop longue pour être énumérée ici. J'ai comme qui dirait une basse estime de moi-même. Vous pouvez me faire des compliments, je ne les croirais jamais, c'est aussi simple que ça alors autant passer son chemin. J'ai même une tendance à me recroqueviller sur moi-même et à maudire le ciel à la moindre occasion où je fais une bourde. Et des bourdes, je suis persuadé d'en faire à longueur de journée, même si ce n'est pas ma faut, je me sentirait toujours coupable des évènements. De plus, pour ne rien arranger à la chose, je suis un garçon assez timide, trop en réalité. Et j'ai encore tendance à l'être dans le milieu dans lequel je suis. Enfin, si ce n'est pas vraiment la même timidité à l'extérieur que ici. A l'extérieur, j'ai du mal à engager une conversation simplement par peur de ne pouvoir contrôler la situation, me retrouver perdu, hors de mes repères habituels. Dans le milieu du travail, je suis plus intimidé par les grands noms du catch, un respect qui me pousse un peu trop au mutisme parfois. Je sais parler, rassurez-vous. Maintenant, est-ce que mes paroles auront un sens, c'est une autre question.
« VOTRE HISTOIRE »
Que dire de ma naissance ? Déjà que je ne me souviens plus de grand-chose, normal vu l'âge que j'avais. Je peux juste vous raconter ce qu'on m’a raconté à ce sujet. Je suis né prématurément de 2 semaines, pas vraiment un problème en soit. Tout ce que je peux dire, c'est que mon père n'était pas là, partit dans un autre pays au moment des faits, mais j'y reviendrais plus tard. Ce fut mon oncle qui accompagna ma mère à la maternité pour l'accouchement. Enfin, il n'alla pas plus loin que le couloir. Mon oncle, c'était le frère de mon paternel. Malgré les deux semaines trop tôt, je me portait à merveille, poids dans la moyenne et taille pas plus haut, pas plus bas non plus. Bref, d'après ce qu'on m'a dit, j'étais un bien beau bébé tout calme. A moins que en fait, je sois un véritable petit monstre déjà à l'époque mais pour ne pas me blesser, on a préféré me raconter des bobards gros comme des maisons. C'est une éventualité à prendre en compte.
Et mon père donc, vous vous demander à vos yeux ébahis pourquoi diable il n'avait pas être là ? Ce qui le retenait dans un autre pays. Peut-être un homme d'affaire qui devait signer un énorme contrat. Et bien non. Ou presque, mon père était un homme d'affaire, un vrai, mais ce n'était pas son métier. Allez, je vous mets sur la voie. Charlie Wright, ça vous dit quelques choses ? Non ? Mais vous sortez d'où ? La légende vivante des rings, celui qui remporta la majeure partie des titres de mon Australie natale et quelques autres à travers le monde. Et oui, je suis bel et bien le fils du catcheur. Et c'est comme ça que j'ai débuté. S'en voulant d'avoir rater une partie de ma vie, à savoir la première journée, mon père avait décidé de revenir dardar pour s'occuper de moi, le lendemain de son match alors que sont retour était prévu dans une semaine et demi. Et je pense donc que je suis rentré dans l'univers du catch à… 2 jours et 10 heures, 20 minutes et quelques secondes. Mon père a été un véritable papa poule, autant qu'il le pouvait. Je ne m'en souvient plus, sinon les principaux souvenirs qui ne sont que les images que l'on invente des mémoires transmises par nos ancêtres, qu'il me racontait déjà ses aventures sur le ring juste pour que je m'endorme. Ca c'était une façon de se faire bercer. Et ça a continué comme ça toute ma plus jeune enfance. Quand on me donnait ma popote, j'avais droit à des cuillères qui se transformait en frog splash plutôt qu'en avions transportant une bouchée pour maman. Et le soir, quand mon père était à la maison, c'était des matches légendaires qui prenait vie hors de la bouche de mon père. Certains peuvent dire que leur père est leur héros, mais dans mon cas, le savoir ainsi affrontant des hordes de méchants, c'était véritablement un héros.
A l'âge de deux ans, j'ai eu une petite surprise de taille. En effet, non content d'avoir un fils, la famille Wright avait décidé de s'agrandir avec une petite fille, Jesika Isis Wright. On aurait pu penser que cette nouvelle bouche à nourrir allait s'accaparer toute l'attention de mon père, qui avait là une nouvelle personne à qui raconter ses histoires. Et pourtant non, notre père arriva à s'occuper de l'un, comme de l'autre, sans aucune différence. Et moi ? Et ben pour moi, j'avais une petite protégée, une amie avec qui jouer. En gros, je l'adorais déjà ma soeurette, même si son passe temps favoris à l'époque, c'était de pleurer, de dormir et de manger. J'espère au moins que je n'était pas comme ça à son âge. Quand elle commença à grandir, notre amitié continua à évoluer dans le bon sens, pour au final pratiquement devenir les amis inséparables dans toutes les combines.
Alors la question pouvait se poser. Quand est-ce que le flambeau familial allait se transmettre ? Vous savez, quand un père est célèbre, le fils prend souvent le même chemin. Fils d'acteur, fils de chanteur et aussi fils de catcheur. A vrai dire, je ne m'en souviens plus exactement, j'ai le sentiment de toujours avoir voulu suivre les traces de mon père. Je pense que c'est vers mon dixième printemps que cette envie s'est réellement concrétisée. A l'époque où les instituteurs posent cette question totalement stupide à des enfants qui ont encore bien le temps avant d'y penser : "Qu'est-ce qu tu veux faire plus tard ?" Et face à cette question, j'ai surpris cette dernière en lui annonçant que je voulais entrer dans le monde de la lutte professionnel et le sport spectacle. Ce genre de réponse où on sent que l'enfant est encore dans ses rêves de devenir une superstar. Sauf que pour moi, c'était plus qu'un rêve, j'y étais déjà, en quelque sorte. Je suivais mon père dans la salle d'entraînement à chaque fois qu'il y allait… et que j'avais fini mes devoirs. Sinon, maman avait une sacrée tendance à m'engueuler, puis à engueuler papa qui me laissait le suivre en délaissant mes études. Le seul argument qu'il arrivait a trouvé, c'est que suivre un entraînement était plus saint que de regarder des émissions abrutissantes à la télé. Et pendant les vacances, il s'arrangeait toujours pour que je l'accompagne, toujours avec maman. En fait, c'était une véritable équipée qui partait à l'aventure croisée les plus grand. Et à seulement 11 ans, je pouvait me vanter d'avoir été dans un nombres de pays impressionnant : J'avais visité presque toute l'Europe, le Japon, le Mexique et même les Etats-Unis.
Alors oui, j'avais attrapé le virus familial, ou paternel ça dépends des choix, mais il y avait autre chose que je n'avais pas attrapé, c'était le physique de mon père. Lui, c'était tout du muscle, une véritable brute de décoffrage comme on en fait plus. Moi j'étais plutôt comme ma mère, le maigrichon de service. D'ailleurs je pense que si mon père n'avait pas été là, j'aurais été le racketté du coin un fois que je suis rentré dans l'adolescence. La renommée de mon père, et le fait qu'il allait venir mettre son poing dans la figure du premier qui me cherchait des crosses m'offrait une protection quasiment constante. Je dis quasiment constante car bien sûr, il y a toujours un petit malin qui se croit plus fort que tout le monde et qui s'imagine qu'un vieux catcheur ne ferrait pas le poids face à lui. Et je me permets de vous raconter cette petite anecdote sur cette partie de mon adolescence. Son nom était Chuck, Chuck machinchouette, j'ai bien vite oublié son nom de famille après cette histoire… par contre, je sens qu'il n'est pas près d'oublier le mien… Bref, il tenait avec lui une petite bande locale, ceux qui font la loi, qui te demande un droit de passage pour marcher sur le trottoir, vous voyez le portrait. Et ce jour là, c'était moi qui devais payer le droit de passage. Et pour une fois, il n'en avait pas après le portefeuille ou le déjeuner de leur victime… mais le prix était une série de coup de poing à se ramasser dans le buffet en suppliant si possible. Ils m'ont attiré dans une ruelle pas loin et le combat bien inéquitable commença. Les catcheurs ont du mal à du deux contre un pour la plus part. Moi, j'avais directement du 4 contre un. Bien sûr, voir mon père s'entraîner m'avait appris quelques prises, et quelques cours accélérés m'avait montré les ficelles du métier mais comme préciser un peu plus tôt, je n'avais pas le physique de l'emploi. Donc, après quelques vagues coups lancé sans vraiment toucher le but… ou sans vraiment être convainquant, je me suis contenter de prendre les leur, de coups, mais au moins, sans broncher. Par que je n'avait pas mal, au contraire, je me souvient encore que mon corps entier voulait hurler de douleur, mais si il avait eu raison de mon physique, mon mental n'avait pas pris un coup, et c'était ma façon de leur montrer que je pouvait leur tenir tête. Ce soir là, je suis rentré à la maison couvert de bleus, ce soir là, mon père à appris ce qui c'était passé. Je n'ai pas été pleuré dans ses bras si vous voulez tout savoir, pas besoin de mot pour comprendre ce qui c'était passé. Il me demanda juste une chose, une seul question, un seul mot qui résumait tout : Qui ? Le lendemain, mon père est sortit en ville. J'ignore ce qui c'est passé mais plus jamais Chuck et sa bande ne me maltraita et elle ne maltraita plus jamais personne d'ailleurs.
Mais la raison était faite, le catch n'était pas un sport pour moi. Pas sur les rings du moins. Donc, j'orientais mes études vers la communication. Pourquoi ? Parce que il faillait bien faire quelque chose de sa vie, si je ne pouvais pas vivre de mon rêve. Mon père tant qu'à lui se sentait sur la fin, il pensait sérieusement à prendre sa retraite, la cinquantaine approchant. Enfin, il pensait surtout sérieusement à lever le pied un peu du moins. Je continuait à suivre ses matches à la télé quand je ne pouvait pas être un privilégié du premier rang ou même, dans les coulisses. Mon père était encore plus un héro pour moi, car il faisait ce qui m'était impossible. La majeure partie de nos discutions partaient d'ailleurs bien souvent sur ce sujet, les matches qui faisait. Et sans vraiment m'en rendre compte, je lui proposais des idées de matches, ou de rivalités qui pourraient tourner d'une manière ou d'une autre. Et mon père semblait en prendre note quelque part au fond de son crâne car plus d'une fois, il faisait tourner les scénarii dans la voie que j'avais proposé. A mes 18 ans, mon diplôme en poche et près à continuer mes études, il m'arrêta sur le champ. Il avait une idée à me proposer. Le catch était toujours ma passion ultime, y participer, mon plus grand rêve. Et la proposition était une place que je n'avais jamais imaginé. Mes idées étaient bonnes. Pour certaines, c'était les meilleures qu'il n'avait jamais eues et certains de ses matchs étaient devenus mémorables grâce à mes idées. Il me proposa donc de postuler comme booker dans les fédérations. Pourquoi pas après tout ? J'ai postuler et miracle, ou coup de pouce du pater, j'ai été engagé assez vite dans diverses fédérations. Il m'a fallu 6 ans pour arriver là où j'en suis, ce n'a pas été toujours facile mais maintenant, je travaille pour la plus grande fédération de lutte. Certes je suis toujours dans l'ombre, mais j'ai encore de longues années devant moi pour trouver un projecteur qui voudra bien m'éclairer.
« VOUS & LA WWE »
(Ici vous décrivez le rôle de votre personnage envers la WWE. Son opinion sur la fédération, sur les catcheurs/divas, ce qu'il pense généralement sur la catch. 20 lignes minimum.
Si vous faites partis du groupe :
PERSONNEL : pourquoi avoir choisit de travailler à la WWE?
ENTOURAGE : votre réaction lorsqu'un(e) fan vient demander un autographe à votre frère/soeur/père/mère/ami(e) alors que vous vous baladez tranquillement ensemble. Comment réagissez-vous lorsque vous regardez votre frère/soeur/père/mère/ami(e) combattre sur le ring? Votre avis sur son métier de catcheur(se)
SPECTATEUR : vous faites sûrement partis de ces fans exceptionnels de la WWE Universe... Mais qu'est-ce qui fait de vous un fan particulièrement remarqué des catcheurs? Racontez-nous comment et pourquoi vous êtes devenu fan de catch, vos moyens de montrer votre soutient à vos idoles (t-shirt, manifestations, etc).
« DERRIÈRE L'ÉCRAN »
CODE DU FORUM : Par dessus la troisième corde... encore xD[/i]
Allez voir du côté de chez Billy, il saura vous expliquer mieux que moi qui je suis xD
|
|
Accueil 
Dernières images 
